Témoignage : Elle raconte pourquoi elle a choisi la sleeve gastrectomie

23 décembre 2018

Chirurgie

 

Dans une vidéo publiée en ligne, une jeune femme explique pourquoi elle a eu recours à la chirurgie bariatrique.

Un déni de surpoids

Dans un témoignage vidéo Dauphiné Libéré, elle raconte sa problématique de poids avant la chirurgie.

“On commence à être d’abord un peu en surpoids, puis un peu plus, on fait un régime on perd quinze kilos on reprend vingt, et puis un jour une visite chez le médecin et il m’ordonne de monter sur la balance, parce que ça faisait des années que je n’étais pas montée dessus, et je vois cent-quarante-deux. Voilà.”

“J’ai fait un déni de surpoids, le jour où j’ai vu cent-quarante-deux, tous les soucis de l’obésité sont apparus, j’avais mal aux genoux, mal au dos, et j’ai senti les cent-quarante-deux kilos dès le lendemain. Chose que je n’avais pas sentie avant parce que je ne me sentais pas spécialement mal dans ma peau.”

“J’ai vingt-deux ans, je pèse cent-quarante-deux kilos, avoir un enfant est inenvisageable, je mets ma santé en danger, je risque d’être diabétique, je risque d’avoir pleins de maladies cardiovasculaires, je sais qu’il existe des solutions, je vais en profiter.”

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Quand il n’est plus possible de perdre seul, la chirurgie bariatrique comme recours

“J’ai demandé à mon médecin de m’orienter vers des personnes qui pourront m’aider, parce que toute seule je n’y arriverai pas, je ne peux pas perdre soixante-dix kilos comme ça, en me réveillant un matin.”

“En m’arrêtant de manger, j’en perdrai dix, mais le jour où je vais reprendre la nourriture, j’ai reprendrai vingt.’

“Moi le problème que j’avais c’est que je ne savais plus distinguer si j’avais faim ou si je n’avais pas faim. Je ne savais pas si je mangeais par gourmandise ou vraiment parce que mon corps en avait besoin.”

“C’est vrai que quand on atteint cent-quarante-deux kilos, on dit souvent qu’il faut manger [mieux], bouger. Bouger ce n’est pas possible. Franchement je marchais deux-cent mètres, j’avais fait le semi-marathon. Et puis on n’a pas forcément envie, le regard des gens dans une salle de sport, quand on est en train de suer sur un vélo, franchement ça ne motive pas trop.

Pour retrouver la vidéo : cliquez ici.

La chirurgie bariatrique à l’IPCO

L’IPCO organise des réunions d’information chaque deuxième jeudi du mois de 18h à 19h30.

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